C'est venu un soir remarqué par Grégoire: une horde de jeunes pour la plupart étrangers. Des Américaines surtout. Une vingtaine. Il y avait là Burt, Vic, Megumi, Nina, Frida, Oliver, Frédérique, Michel, Thuan, Philip, Emily, Sher, Leeroy...
La musique sans arrèt, la drogue, l'alcool, les Jesus Freaks, les végétarians, les zen. De drôles d'odeurs habitaient la maison, mélange d'encens, ses enfants et leurs copains était fascinés. Ils leur donnaient tout, tout ce qu'ils possédaient,tou ce qu'il y avait dans la maison. Mais le lendemain ils étaientlà et le sulendemain aussie, trois emaines plus tarde ils étaient toujours là.
Tout se désagrégeait, tout se décomposait à leur contact. Ils étaient en route pour une croisade sans but capables de dormir n'importe où et à nn'importe quel moment. Au tout de quelques jours leur inconsistances a commencé à lui taper sur les nerfs. Rapidement ell s'est rendu compte que c'était deux américaines qui faisaient vivre la groupe. Ils se repliaient sur eux-mêmes, ne se nourrissaient presque plus, fumaient et dormaient. Il paraît que quelques-uns était junkies mais elle ne les ai jamais vus se piquer.
Une nuit qu'elle s'était débrouillée pour libérer sa chambre, elle a été réveillée par une quinte de taux, qui n'en finissait pas, puis quelq'un a gratté à sa porte. C'était Burt qui voulait le téléphone qui était qui était pour appeler un taxi. Frédérique devait rentre chez-elle. Il était cinq heures du matin et Frédérique avait le lycée le lendemain. Elle s'était accrochée au group, un jour qu'elle les avait rencontrés dans Paris.
Auparavant elle sortait par la porte de service, elle l'avait la clé mais elle l'a perdue. Ils croyaient qu'elle dormait et elle filait en réalité en douce. Mais le jouer où elle s'aest trouvée sans clé elle a bien été obligée de les reveiller. Alors ils lui ont donné la clé de la porte de l'entrée principale. Elle est sùre qu'ils quettent ses retours, elle est obligée de passer devant leur chambre.
Ses parents sont extrêmement riches et catholiques.