Quand Marie Cardinal était petite fille, sa mère s'enfermait dans sa chambre et personne n'avait pas le droit de la déranger. Elle était rentré harassé par la fatigue de la journée. Sa mère l'a grondé et dés lors elle montrait son malaise.
Il est evident qu'elle avait peur car elle avait souvent les cauchemar, pas étonnant car sa mère n'était pas là. Semble-t-il qu'il y avait une permutation des rôles entre Marie Cardinal et sa mère.
Marie Cardinal accompagnait sa mère au cimetière à la Toussant leur tombe était surchargé de brassées de chrysanthèmes, chemin faisait sa mère détailler les tombes et lui montrait celles qui étaient belles et celles qui ne l'étaient pas. Devant les champs de ces musérables tombeaux elle disait ils sont mieux là qu'ailleurs., çaveut dire 'il vaut mieux être mort que pauvre'.
Il y avait une complicité entre sa mère et la décomposition. Sa mère travaillait jusqu'à obtenir une composition à la fois délicate et forte qui était l'expression exacte de con coeur, de sa peine, de sa tendresse.
Il n'y avait entre la mère et Marie Cardinal que des mots d'ordre de la vie.
Ne sors jamais sans tes gants.
On me se retourne pas dans la rue.
On ne croise pas les jambes...
Marie Cardinal nous raconte une liste énorme d'ordres et ainsi de suite, pour chaque moment de la jour née, pour chaque geste, les menues règles qui feraient d'elle une petite fille bien élevée et heureuse. Elle n'avait pas du mal à agir à des ordres mais ce qui est important c'est qu'elle pensait qu'ils étaient inutiles qu'elle n'avait pas besoin de les faire.
De l'autre part, aprèes avoir bien réflechi à tout ce lavage de cerveau intensif, cruel et profond, il restait bien peau à garder de son éducation.
A douze ans Marie Cardinal connaissait bien la hiérachie du monde mais après avoir grandi Marie Cardinal est devenue beaucoup plus sage et mùre, elle ne savait pas les idées de sa mère, elle avait ses propres idées. Par exemple, à proposde la bourgeoise. Ses parents lui avaient enseigné que certains mensonges étaien acceptables: les mensonges pieux. Lorsqu'ils allaient une fois par un rendre visite à la famille de leurs femmes de chambres pour ebéir à sa mère et pour faire plaisir aux soeurs, elle avait dû mentir.
Sa mère avait de visage aigu d'une cigone, elle avait des yeux vents et un front clair. Son corps était fait de miches et de pains rondes, il était gros et appétissant, ses ongles étaient toujours soignés. Ce n'est pas comme cela qu'elle était les dernières années de sa vie. Affreuse, inhabitée, ses cheveux sales, ses paupiéres tombant sur ses joues, avachi, désossée, une humaine fuyant devant la mort quila talonait, qui ne lui laissait plus le temps de trouver un abri.
Il y a un vrai contraste entre Marie Cardinal et sa mère, elles se comportaient tout à fait différemment face à cette situation. La mère ddeMarie Cardinal s'en fichait à propos de sa fille, en vérité il n'y avait pas une symbiose entre les deux. Probablrment, l'écrivan n'osait pas echercherl'amour et la tendresse d sa mère. Dorothée s'était mise à crier dans la nuit, immédiatement, elle l'a prise dans ses bras, sa langue est calmante et levique chaleureux. D'ailleurs, Dorothée et sa mère ont des rapports forts, elles sont proches et contrairement à Marie Cardinal elle osait rechercher l'amour et la tendress. Elle a reussi.